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L’Instituto Bernabeu fait des recherches pour savoir s’il y a des facteurs de stimulation ovarienne qui affectent la morphologie ovocytaire et le type de rupture de membrane dans l’ICSI

22-01-2020

L’Instituto Bernabeu fait des recherches pour savoir s’il y a des facteurs de stimulation ovarienne qui affectent la morphologie ovocytaire et le type de rupture de membrane dans l’ICSI

L’Instituto Bernabeu a réalisé une étude pour déterminer s’il existait des facteurs dans la stimulation ovarienne qui pourraient être liés à la morphologie ovocytaire et au type de rupture de la membrane lorsqu’est réalisée la micro-injection intracytoplasmique des spermatozoïdes (ICSI). Cette technique de reproduction assistée est routinière dans les laboratoires de fécondation in vitro (FIV). Elle offre le grand avantage d’aider dans des cas de facteurs masculins sévères, en évitant que le décompte spermatique soit une limitation ; mais son inconvénient principal est que ses résultats dépendent de l’opérateur. Bien qu’actuellement le spécialiste soit capable de réaliser le processus de manière sûre, il existe une certaine variabilité dans les résultats. Des différences entre les ovocytes sont observées durant l’ICSI y compris lorsque l’on réalise un programme de don d’ovocytes.

La recherche a été présentée au congrès de l’Association pour l’Étude de la Biologie de la Reproduction (ASEBIR) auquel ont participé les unités de Biologie de la reproduction et du Don d’Ovocytes de l’Instituto Bernabeu. Pour connaître l’impact durant la réalisation de cette technique, on a étudié les donneuses d’ovocytes de janvier à avril 2019, en prenant en compte la dose et le type de gonadotrophine, la phase de démarrage de la stimulation et sa durée. Et on a également étudié le nombre d’ovocytes récupérés comme celui d’ovocytes matures. Au moment de la micro-injection, on a enregistré la qualité ovocytaire et le nombre d’ovocytes avec rupture de la membrane plasmique sans saut (la rupture sans saut est un indicatif de mauvaise qualité).

Dans leurs résultats, les chercheurs ont observé que l’impact est plus important en ce qui concerne le nombre d’ovocytes avec rupture de membrane plasmique lorsque la dose de gonadotrophine est plus élevée. Et ils informent que d’avantages d´’études sont nécessaires pour déterminer les facteurs qui affectent les résultats variables.

¿Qué parámetros pueden afectar a la morfología y a la resistencia de la membrana ovocitaria durante la microinyección en ovodonas?

A Rodríguez-Arnnedo, M Herreros, N Díaz, J Ten, J Ortiz, MC Tió, L. Martí, J Guerrero, R Bernabeu.

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