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L’Instituto Bernabeu présente deux études sur le diagnostic génétique préimplantatoire en Malaisie.

16-05-2024

L’Instituto Bernabeu présente deux études sur le diagnostic génétique préimplantatoire en Malaisie.
  • La Dre Belén Lledó a participé au congrès international de la Société de Diagnostic Génétique Préimplantatoire (PGDIS) en présentant deux communications sous forme de débats d’affiches.
  • Cet important congrès, qui s’est tenu cette année à Kuala Lumpur, réunit des professionnels du monde entier.

L’Instituto Bernabeu a participé au congrès annuel de l’International Société de Diagnostic Génétique Préimplantatoire, qui s’est tenu à Kuala Lumpur, en Malaisie. Belén Lledó, directrice scientifique de l’Instituto Bernabeu Biotech, a participé au congrès en présentant deux communications sous forme de débats d’affiches.

D’une part, elle a dévoilé une étude menée à l’Instituto Bernabeu dans laquelle la technique des OGM a été utilisée pour analyser les chromosomes d’embryons provenant d’un couple ayant des antécédents de fausses couches à répétition. L’étude a détecté des réarrangements chromosomiques cryptiques dans certains des embryons, ce qui pourrait expliquer la cause des fausses couches.

« La cartographie génomique optique est une technique de diagnostic génétique très prometteuse dans le domaine de la reproduction assistée », déclare la Dre Lledó. « Cette technique nous permet de détecter des altérations chromosomiques qui ne peuvent être détectées par d’autres techniques, telles que l’hybridation génomique comparative (CGH), ce qui nous aide à identifier la cause génétique du problème de reproduction du patient et, de cette façon, à sélectionner les embryons ayant le plus grand potentiel de grossesse ».

D’autre part, Lledó a présenté les résultats d’une étude comparant les résultats de la FIV et du don d’ovocytes sur des embryons ayant fait l’objet d’une PGTA non invasive (niPGTA). L’étude n’a pas révélé de différences significatives dans les taux de grossesse entre les deux groupes.

« Ces résultats suggèrent que la niPGTA n’améliore pas les résultats de la FIV avec don d’ovocytes », a déclaré Belén Lledó. « La niPGTA est une technique moins invasive et moins coûteuse que la PGT-A conventionnelle, et nous devons donc poursuivre dans cette voie pour prouver son efficacité en tant qu’outil d’amélioration des résultats cliniques ». 

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